La ville province de Kinshasa vibre au rythme de « tia foin », c’est un phénomène qui consiste à se procurer des produits pharmaceutiques, plus précisément le C4 par bon nombre des kinoises envie de prendre du poids dans le dessein se faire belle.
Cependant en les approchant pour se rendre compte le pourquoi de cette pratique, elles ont révélé que cette pratique les favorise à se faire belle et attirante. D’après leurs dires, les hommes aiment plus que les femmes robustes et corpulentes, les femmes minces est synonyme de celles qui sont atteintes du VIH/sida.
Les conséquences qui en découlent ce que celles qui prennent ces palliatifs n’ont pas l’avis du médecin, ni la prescription médicale. En s’adonnant ainsi à cette pratique, elles s’exposent à une panoplie d’affections et de complications corporelles, à savoir : le poids qui entraine à l’obésité, la stérilité, ainsi que l’usage abusif peut entraîner la perforation du cœur étant donné que ce produit est un apéritif. Dès lors que l’utilisateur ne s’alimente pas conséquemment, il peut courir le risque de perdre la vie, soit avoir le cancer de la gastrite.
La production excessive et l’accumulation des graisses est une porte d’entrée pour les anomalies cardio-vasculaires, le C4 est une association des produits chimiques, il est aussi vrai que son emploi exagéré ne peut à non aucun cas manquer des méfaits dans l’organisme humain.
Nous estimons, que le vrai problème l’inculturation qui entraine le complexe d’infériorité de la part des utilisateurs de ces produits avec effet nocif. Ce qui justifie l’engouement vers cette pratique. La plupart des femmes n’acceptent pas ce qu’elles sont, ni ne croient pas en leur capacité féminine. Elles se jugent sur base d’apparence, ce qui est un jugement complètement erroné. Il faudrait plutôt se fier aux valeurs intrinsèques. Une sentence dit ce qui suit « la taille ne fait pas l’homme. »
Les femmes qui usent de ces produits, doivent donc prendre conscience et éviter cette pratique qui constitue un danger contre sa santé.
Esther Bhiliatre
Il n'y a pas qu'en RDC que ce type de comportement se voit. Aux USA une danseuse, Vanity Wonder a même écrit un livre dans lequel elle raconte ses multiples opérations de chirurgie pour augmenter le volume de son postérieur. Elle décrit également les injections que certaines ses collègues subissent, dans des conditions d'hygiène de sécurité déplorables.
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