vendredi 8 juin 2012

Event: Du 8, 9, 10 juin au théâtre de verdure du RIRE A GOGO

1er édition du festival international d’humour de Kinshasa
Kinshasa va accueillir  du 8 au 10 juin prochain la première édition du Festival international d’humour de Kinshasa, dénommée « Toseka ». Le comédien Mamane est l’invité d’honneur de la première édition de ce festival à  Kinshasa. Une pléiade d’artistes comédiens locaux va communier sur une même scène aux côtés de leurs homologues africains de la Côte d’ivoire et du Rwanda. Cet événement s’inscrit dans le cadre de la Francophonie. Toseka présente une de richesses de la RD Congo, l’humour. Saï-Saï et Esobe, deux stars de la comédie congolaise font figurer parmi les invités surprises. L’amphithéâtre du théâtre de la verdure nouvellement réhabilité va accueillir l’événement.

mardi 5 juin 2012

Event: Mamame se soucie du chômage de ses collègues présidents

Mamane dans ses oeuvres
Du 8,9 et 10 juin le Président fondateur de la très très démocratique République du Gondwana  en visite officielle à Kinshasa  
Mamane,  Président fondateur de la très très démocratique République du Gondwana est attendu en visite officielle  à Kinshasa dans le cadre du festival international d’humour dénommé  Toseka.  D’après le programme officiel  de son séjour, Mamane   va présenter en avant première  mondiale  un spectacle collectif,  le 10 juin prochain au théâtre de verdure,  intitulé « Débat sur Gondwana TV ». A  cet effet, il invite les gondwanaises et gondwanais à se rendre nombreux au théâtre de verdure où il est prévu trois jours d’intense moment de rire et de bonne  humeur, soit en date du 8,9 et 10 juin. « L’humour c’est la politesse du désespoir…nous allons prendre à bras le corps certains problèmes de notre société », a déclaré le président fondateur de la République très très démocratique du Gondwana, Mamane au cours d’un point de presse en marge de cet événement.

Event: Programme des obsèques de l’artiste musicien Ndombe Opetum

Ndombe Opetum
Disparu le 24 mai à la suite d’une crise cardiaque, l’artiste musicien Ndombe Opetum sera inhumé au cimetière de Nécropole le mardi prochain à Kinshasa. Le programme des obsèques tels que rendu par l’Union des musiciens congolais (UMUCO) se présente comme suit : la levée du corps de la morgue de la Clinique Ngalièma  est prévue  lundi 11 juin à 10 heures pour la son exposition à la résidence du défunt sise avenue Kisantu n°32 à 11 heures à 13 heures.   Le départ pour le stade de Martyrs est prévu à 13 heures pour l’exposition du corps dans  l’enceinte de ce complexe sportif de la capitale ou il est prévu  des moments de  recueillement et d’animation religieuse. Il s’en suivra à 23 heures la fanfare, les animations  par des groupes folkloriques, de la musique religieuse et des ensembles musicaux.

lundi 4 juin 2012

Créateur:Petna Ndaliko, l’ambassadeur de la réunification par la pellicule

Artiste à plusieurs casquettes à savoir chorégraphe, danseur, vidéaste, peintre, écrivain, en plus d’une ceinture noire en karaté, Petna Ndaliko s’est sans tambour ni trompette qu’il s’est exprimé dans plusieurs rencontres culturelles à travers le monde.« Kinshasa n’est pas le Zaïre », a dit en son temps le Président Mobutu en considérant aussi les préoccupations d’autres provinces de la RD Congo en dehors de celles de kinois. Cette vérité constitue également la mission que s’est engagé un cinéaste sortir des provinces de l’Est de leur enclavement culturel, dans une discipline culturel le Cinéma. Il s’appelle Petna Ndalilco Katondolo, Directeur du centre d’échange culturel Yolé Africa - dont le siège se trouve en Ouganda- ce cinéaste ne cesse de damer pour le désenclavement culturel de cette partie de la République. L’artiste a constaté que l’engouement avec lequel les jeunes de Goma s’accrochent à cet art. Le cinéma est la preuve qu’ils veulent non seulement se départager le monopole de cette activité artistique dont la capitale Kinshasa sem­ble en avoir seul le contrôle. Dans l’entendement du cinéaste, c’est une manière aussi de contribuer au processus de réunification et de pacification pays, en ouvrant un large horizon au cinéma.Saint Hervé M’Buy

Lecture du temps : trop de commerçants tuent le commerce en RD Congo

Marché central de Kinshasa
Faute d’emploi dans les villes, le petit commerce est devenu la principale activité économique de nombreuses familles en Rd Congo. Mais quand tout le monde se met à vendre, le nombre d’acheteurs diminue et certains vendeurs sont obligés de consommer leurs produits, de faire le troc ou de vendre à crédit…
Tôt le matin dès le lever du jour, de nombreux vendeurs prennent d’assaut les rues et marchés de Matadi, capitale de la province du Bas-Congo, à 360 km l’ouest de Kinshasa. Ils sont tous pressés d’étaler leurs produits, pour s’arracher la clientèle des premières heures du jour. Ce petit commerce qui relève souvent du secteur informel, nourrit de nombreuses familles qui n’ont pas d’emploi en ville. Ligablos (petits boutiques de fortune), petits marchés clandestins sont érigés partout le long des principales avenues, rues et ruelles. Devant les habitations, des familles vendent sur de petites tables des produits de consommation courante : pain, sucre, poissons ou morceaux de poulets grillés…

Performance: La Congolaise Suzanne Zanao: du petit commerce aux grandes eaux des affaires

Que valent 50 dollars américains ? Rien pour beaucoup d'entre vous mais pour la Congolaise Suzanne Zanao, c'est une manne. Avec cet argent, elle a pu se lancer dans un petit commerce de rue et même importer des articles féminins de Congo-Brazzaville. Portrait d'une battante.
Cette Congolaise d'une quarantaine d'années est mère de cinq enfants dont elle supporte seule la charge car elle est divorcée. Cette native de Kisangani, ville située dans la province orientale nord-est de la République Démocratique du Congo, a abandonné son milieu rural en compagnie de ses enfants au début de l'an 2000 pour déposer ses valises à Kinshasa, capitale.

Question de l’heure : Isidore Ndaywel ne croit pas à un boycott du Sommet de la Francophonie à Kinshasa

Prévue au mois d’octobre 2012, le sommet de la Francophonie annonce déjà ses couleurs à Kinshasa avec l’évacuation sur la place publique des vendeurs ambulants et autres étalages de fortune. Une quarantaine de chefs d’Etat est attendue dans la métropole congolaise. Plus de 2000 délégués vont faire le déplacement dans leurs pays respectifs pour Kinshasa. Dors et déjà,  des chantiers sont présents un peu partout dans les grandes artères et certains sites dans la ville…entre autres sur le Boulevard Lumumba… Cet artère de la ville est d’une importance aussi stratégique dans la mesure où c’est l’unique voie d’accès  voici des lustres qui relie l’aéroport international de N’Djili  au centre ville de Kinshasa, datant du temps colonial.  Au cours d’un grand débat à la Halle de la Gombe, Institut français, mardi dernier, Isidore NDaywel, Président du comité d’organisation, a donné ses assurances à l’assistance sur les préparatifs du Sommet de la Francophonie. L’orateur n’a pas caché son optimisme quant à ses préparatifs et à l’arrivée effective de certains invités de marque. Quant à l’opinion à Kinshasa, elle reste dubitative à l’organisation de cette rencontre de haute portée internationale… A tel point que beaucoup se demandent si certains ne vont pas bouder l’événement, en l’occurrence, François Hollande, le président de la France. Face à ces incertitudes, l’ambassadeur de France en RDC, Luc Hallade  a démenti une quelconque volonté de boycott. Il a confirmé qu’avant qu’une invitation formelle lui soit adressée… « Il n’y a pas de mise en cause à ce stade, de quelque participation que ce soit. J’ai simplement consulté son cabinet, qui m’a répondu que la ligne était la même que celle que je défends, c'est-à-dire de soutenir effectivement une participation au plus haut niveau, de notre Etat, comme des autres Etats j’espère. », a déclaré le diplomate français dans son mise au point.  Dans le même registre, le président du comité de l’organisation du sommet, l’historien congolais Isidore Ndaywel, ne croit pas à un boycott. Il faut venir, selon lui, même pour critiquer : « Je n’ai aucune inquiétude sur la participation des pays du nord, spécialement de la France, parce que je crois qu’il est important que les amis du Congo viennent ici massivement soutenir les efforts en cours, conseiller délicatement, faire remarquer ceci et cela… C’est ça qui fait qu’il y a une avancée. »

Lecture du temps : Image et apparence de la femme sur Facebook

Voici ce que révèlent les photos postées sur Facebook par les femmes
Une nouvelle étude concernant les comportements sur Facebook s'est penchée sur la signification des photographies publiées par les femmes sur le site de réseau social.
 L'université de Buffalo, aux États-Unis, s'est penchée récemment sur la signification des photos publiées par les utilisateurs de Facebook et sur ce que le comportement de chacun sur le site de réseau social pouvait révéler. Pour cela, 311 participants ont été réquisitionnés pour cette étude, avec une moyenne d'âge de 23 ans.
D'après les premières conclusions de l'université, les femmes qui publieraient beaucoup de photographies sur leur profil Facebook accorderaient beaucoup d'importance à leur image et apparence. Pour les femmes, l'utilisation de Facebook est avant tout un moyen pour que les autres fassent attention à elles. Ainsi, l'étude rapporte : "Elles utilisent la publication de photos sur Facebook comme une forme de publicité".
Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les profils de chaque participant, de leur nombre de photos publiées au nombre d'amis que chacun compte sur le réseau social. Chaque participant a également dû remplir un questionnaire concernant sa propre estime de soi.