lundi 27 janvier 2014

Lu pour vous : Nimy Nzonga immortalise les disciples congolais d’Orphée

Tabu Ley Rochereau
Cet ouvrage constitue sans nul doute une lanterne particulièrement pour les jeunes congolais qui n’ont pas des repères sur les origines de leur propre musique. Qualifiée par Manda Tchebwa dans ses écrits comme la terre de la chanson, la Rd Congo souffre d’un réel déficit général dans le domaine de l’édition, particulièrement celle en rapport avec sa musique. Cette musique qui fait danser une grande partie du continent africain. Une léthargie criante demeure dans ce secteur au point que l’intellectuel congolais relègue souvent cette discipline dans une seconde zone.

Event : Le chorégraphe Fabrice Bwabulamutima en quête de l’équilibre

« Kuakuakulangue » mercredi 29 janvier  2014 en salle Brel du Centre Wallonie-Bruxelles  
Le spectacle de danse « Kuakuakulangue » est programmé ce mercredi 29 janvier à l’Ecurie Maloba. Ce spectacle valorise la femme par la danse. Le plus souvent à Kinshasa, la femme est dénigrée en parlant de la danse obscène. Cette discipline culturelle est bradée au profit d’exhibitionnisme sexuel. « Kuakuakulangue » ramène la pendule à l’heure…celle de faire de la danse, une disciplinaire culture pour transmettre un message sur les déséquilibres de la société.
Le chorégraphe Fabrice Don de Dieu Bwabulamutima se contente de présenter les effets de ce déséquilibre de la société par certains organes du corps humain : la bouche, les oreilles et la peau…afin de montrer comme dans un miroir ce qu’on est vraiment…