mercredi 18 décembre 2019

Mode et Moeurs: Le protocole de Maputo contre les avortements clandestins


Le protocole de Maputo signé par la RDC en 2013 et ratifié en 2018 souffre des plusieurs pesanteurs socio-culturelles entre la religion et les valeurs traditionnelles congolaises pour son application sur le terrain dans le cadre des interruptions volontaires des grossesses, dans les approches contenues dans ces textes.Sur la carte, les pays qui ont signé et ratifié le protocole de Maputo en Afrique 

Il souffre de l’aspect promotionnel auprès de l’opinion par les gouvernants qui ont signé et ratifié ce protocole.
Le protocole de Maputo dans son article 14 autorise qu’il ait des avortements sécurisés, pratiqués dans un milieu hospitalier requis, par un personnel qualifié.
Et on ne peut recourir à ces avortements qu’en trois cas de figure : quand la vie de la femme enceinte est en danger (cas de malformation du fœtus) ; interruption volontaire de la grossesse(IVG) ; dans le cas d’une grossesse consécutive d’un viol et dans le cas d’inceste. 


Saint Hervé M'Buy

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