Cet ouvrage vient apporter une lanterne, un repère à l’histoire de la Rdc, cette discipline qui a connu des déformations de ses références au fil des régimes politiques. Dans ce livre, l’auteur esquisse les perspectives de la rénovation de l’esprit congolais (Rdc). Connaissez-vous le nom du premier universitaire congolais ? L’écrivain Didier Mumengi revient sur sa plume sous le label des éditions L’Harmattan pour vous le révéler, il s’agit de « Paul Panda Farnana ».
Ce livre très instructif sous la plume du ministre honoraire de l’information et presse (1998) planche sur l’histoire politique et intellectuelle de la République Démocratique du Congo au contour d’un personnage hors du commun Paul Mfumu Panda Farnana (1888 - 1930).
Cet ouvrage vient apporter une lanterne, un repère à l’histoire de la Rdc, cette discipline qui a connu des déformations de ses références au fil des régimes politiques.
D’ après Eddie Tambwe (Fondateur de la « Collection Recherches en Bibliologie »), dans ce livre, l’auteur esquisse les perspectives de la rénovation de l’esprit congolais (Rdc).
Didier Mumengi tente de restituer à notre mémoire, avec la même passion que dans ses livres précédents, le combat d’un homme Mfumu Paul Panda Farnana, premier universitaire du pays et intellectuel engagé dans la cause des Noirs, aux côtés des figures historiques aussi importantes et emblématiques que Biaise Diagne, Burghardt Du Bois; Simon, Kimbangu, Marcus Garvey...
L’histoire intellectuelle et politique a pourtant négligé ce personnage brillant alors qu’avec Stéphano Kaoze, Panda Farnana marque le point de départ de la littérature congolaise au sens large et au sens (sartrien) de la réflexion engagée.
Didier Mumengi plonge dans notre passé commun, en émerge avec un esprit capable d’éclairer les enjeux contemporains et d’offrir au peuple congolais, et plus largement, africain, les raisons d’agir et de réagir.
Saint Hervé M’Buy
Je suis très content de cet article et je conseil ce blog à la jeunesse congolaise pour la quelle je consacre d'ailleurs mon blog: http://jgrandslacs.blogspot.com
RépondreSupprimerMalheureusement pour notre pays, l'histoire n'est pas enseigné comme il se doit aux jeunes congolais. Nous n'avons pas de temple des souvenirs, des maisons d'héritages... même dans nos universités!! J'ai causé avec beaucoup des filles intellectuelles congolaise, elle ne connaissent pas la première femme universitaire: Sophie KANZA! J'encourage l'initiative de Congo création active!! pour la promotion de la mémoire collective.
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