Riche en symboles en plus de la chorégraphie qui constitue une mixture de danses traditionnelles et modernes « Cocktail énergie » met sur scène des sceaux, des bidons d’eau, des lampes qui accompagnent les mouvements des danseurs en quête des résolutions de leur conjoncture sociale. Ce spectacle du chorégraphe congolais Akim est programmé ce samedi 16 mars à 19 heures en la salle Brel du Centre Wallonie Bruxelles de Kinshasa à l’occasion de la semaine de la Francophonie.
Le spectacle de danse « Cocktail énergie » figure parmi les spectacles sélectionnés dans le cadre des jeux de la Francophonie à Nice en France en septembre 2013.
Le spectacle de danse « Cocktail énergie » produit par le ballet national congolais captive le monde culturel dans la mesure où, il dénonce particulièrement en 50 minutes sur scène les préoccupations cruciales de la population locale ayant trait à la pénurie d’eau potable et en fournitures en électricité.
Ces préoccupations constituent aussi un chapelet de malheur pour de nombreux pays africains.
« A travers les pas de danses, nous avons tout dit et tout expliqué sur la situation de la population. Nous avons préféré recourir à la tradition pour refléter l’originalité et l’image des nos aïeux qui exprimaient à leur époque plusieurs préoccupations dans les chants et danses en plus de leur instrument de musique, de l’époque, bien sûr », a indiqué Akim Nsimba.
Cinq sur scène, deux danseuses et trois danseurs, ces jeunes artistes se font la voix des sans voix au moyen de leur spectacle.
Gorge sèche, misère comme le noir
C’est un scénario captivant dans la mesure où Akim Nsimba retrace les réalités habituelles que les Congolais en particulier vivent au jour le jour dans son environnement direct.
Ce tableau sombre en termes d’énergie en RD Congo date de la fin des années 1990 où une grande partie de la population croupit sous le régime des délestages ou carrément dans le noir.
Et quant au robinet, les enfants s’amusent avec sans se mouiller. Les plus âgés sont poussés à aller puiser de l’eau dans des quartiers voisins ou carrément dans des puits.
L’artiste termine son spectacle en interpellant les dirigeants à s’engager pour le développement du pays par une volonté politique déterminante.
Ce spectacle est riche en symboles en plus de la chorégraphie qui constitue une mixture de danses traditionnelles et modernes. Des sceaux, des bidons d’eau, des lampes accompagnent les mouvements des danseurs en quête des résolutions de leur conjoncture sociale.
A cela s’ajoute l’aspect esthétique ayant trait à l’harmonie des pas de danse, mais aussi par leur costume et leur décor qui dénonce artistiquement le manque de ces besoins vitaux.
Saint Hervé M’Buy
Le spectacle de danse « Cocktail énergie » produit par le ballet national congolais captive le monde culturel dans la mesure où, il dénonce particulièrement en 50 minutes sur scène les préoccupations cruciales de la population locale ayant trait à la pénurie d’eau potable et en fournitures en électricité.
Ces préoccupations constituent aussi un chapelet de malheur pour de nombreux pays africains.
« A travers les pas de danses, nous avons tout dit et tout expliqué sur la situation de la population. Nous avons préféré recourir à la tradition pour refléter l’originalité et l’image des nos aïeux qui exprimaient à leur époque plusieurs préoccupations dans les chants et danses en plus de leur instrument de musique, de l’époque, bien sûr », a indiqué Akim Nsimba.
Cinq sur scène, deux danseuses et trois danseurs, ces jeunes artistes se font la voix des sans voix au moyen de leur spectacle.
Gorge sèche, misère comme le noir
C’est un scénario captivant dans la mesure où Akim Nsimba retrace les réalités habituelles que les Congolais en particulier vivent au jour le jour dans son environnement direct.
Ce tableau sombre en termes d’énergie en RD Congo date de la fin des années 1990 où une grande partie de la population croupit sous le régime des délestages ou carrément dans le noir.
Et quant au robinet, les enfants s’amusent avec sans se mouiller. Les plus âgés sont poussés à aller puiser de l’eau dans des quartiers voisins ou carrément dans des puits.
L’artiste termine son spectacle en interpellant les dirigeants à s’engager pour le développement du pays par une volonté politique déterminante.
Ce spectacle est riche en symboles en plus de la chorégraphie qui constitue une mixture de danses traditionnelles et modernes. Des sceaux, des bidons d’eau, des lampes accompagnent les mouvements des danseurs en quête des résolutions de leur conjoncture sociale.
A cela s’ajoute l’aspect esthétique ayant trait à l’harmonie des pas de danse, mais aussi par leur costume et leur décor qui dénonce artistiquement le manque de ces besoins vitaux.
Saint Hervé M’Buy
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