Le spectacle de danse « Cocktail énergie » du chorégraphe congolais Akim Nsimba Makusu captive le monde culturel dans la mesure où il dénonce particulièrement en 50 minutes sur scène les préoccupations cruciales de la population locale ayant trait à la pénurie d’eau potable et en fournitures en électricité. Ces préoccupations constituent aussi un chapelet de malheur pour des nombreux pays africains. « A travers les pas de danses, nous avons tout dit et tout expliqué sur la situation de la population. Nous avons préféré recourir à la tradition pour refléter l’originalité et l’image des nos aïeux qui exprimaient à leur époque plusieurs préoccupations dans les chants et danses en plus de leur instrument de musique, de l’époque, bien sûr », a indiqué Akim Nsimba. Cinq sur scène, deux danseuses et trois danseurs, ces jeunes artistes se font la voix des sans voix au moyen de leur spectacle.
mercredi 14 septembre 2011
lundi 12 septembre 2011
mode et moeurs: Kinshasa : tout est noir comme la misère
II est 19 heures 30’ au Camp Kauka un des quartiers de la commune de Kalamu, alors qu’une lycéenne s’apprête à mettre au propre son devoir, soudain, une brusque coupure d’électricité. La petite crie: « Maman où se trouvent les bougies ! Comme à l’accoutumée, la société nationale de l’électricité n’a pas pris soin d’annoncer cette coupure à ses abonnés du secteur.
création: « RUINED » planche sur la violence sexuelle faite à la femme
Les femmes victimes de violence sexuelle en RD Congo souffrent souvent des blessures physiques graves, ce qui les empêche de s’épanouir et de réapprendre à vivre avec leurs émotions. En effet, les effets psychologiques, notamment la dépression, le traumatisme, la honte et le repli sur soi, ont des conséquences dévastatrices sur les restants de leur vie. Cette fresque apocalyptique a capté l’attention de l’auteur dramaturge américaine, Lynn Nottage.
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