Le protocole de Maputo signé par la RDC en 2013 et ratifié en
2018 souffre des plusieurs pesanteurs socio-culturelles entre la religion et
les valeurs traditionnelles congolaises pour son application sur le terrain
dans le cadre des interruptions volontaires des grossesses, dans les approches
contenues dans ces textes. Sur la carte, les pays qui ont signé et ratifié le protocole de Maputo en Afrique
Il
souffre de l’aspect promotionnel auprès de l’opinion par les gouvernants qui ont signé et ratifié ce
protocole.
Le protocole de Maputo dans son article 14 autorise qu’il ait
des avortements sécurisés, pratiqués dans un milieu hospitalier requis, par un
personnel qualifié.
Et on ne peut recourir à ces avortements qu’en trois cas de
figure : quand la vie de la femme enceinte est en danger (cas de malformation
du fœtus) ; interruption volontaire de la grossesse(IVG) ; dans le cas d’une
grossesse consécutive d’un viol et dans le cas d’inceste.
Saint Hervé M'Buy
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