La
femme n’étant pas faite pour vivre seule, les organisatrices de la fête ont
tenu à ce que cette soirée ait un caractère inclusif à travers la
représentativité de tout le personnel de l’entreprise.
Le samedi 24 mars 2018, le
restaurant « La Calisa » de la commune de Kasa-Vubu sur le boulevard Triomphal
a servi de cadre - pour les dames de Média 7, groupe comprenant Télé 7, Radio 7
et le quotidien « Le Potentiel » - à la célébration du mois de la femme qui se
clôture le samedi 31 mars 2018.
Prévue à 16h30’, la fête a réellement démarré aux environs de 19h00’. Au cours de cette soirée, toute la gent féminine, c’est-à-dire les mariées comme les célibataires, s’était faite belle pour le mois qui lui est consacrée. Ces beautés de la presse étaient toutes moulées dans des jupes de couleur rose, tissu aux motifs de papillons et incrusté d’anneaux. On aurait cru qu’elles allaient convoler en premières noces.
Elles n’étaient pas seules, leurs confrères des médias du même groupe étaient de la partie. Le maître de cérémonie Thierry Kasongo portait une chemise du même uniforme lorsqu’il a annoncé Nadine Laing, la directrice des informations, appelée à prononcer le mot de circonstance. Mais pour cette fois, l’Indienne de Télé 7 n’était pas en sari.
Des photos à gogo
C’est
dans cette ambiance de fête que les bouteilles de bière ont commencé à
circuler, sous la surveillance de Nana Kanku. On aurait cru assister à une
activité de photos, ces belles ne faisaient que se photographier à chaque
seconde, et les prises de selfies ont vraiment souffert.
Après l’allocution préparée pour cette occasion, Thierry Kasongo a invité tout ce beau monde au repas de cœur offert par Sylvie Ngalula, Kathy et Nana. Les barons de ce groupe de presse ont été les premiers à se servir, en commençant par les directeurs Oscar Bakandowa, Jean-Marie Kapongo et Faustin Kuediasala. La nourriture est même restée, à tel point que Thierry ne cessait de crier : « Il y en a encore ». Une occasion en or pour le directeur technique André Ndjeka qui est repassé trois fois à la table.
Enfin, le bal ouvert, tout le monde s’est lancé sur la piste. Il y a eu un rythme endiablé. Ces professionnelles de la presse sont aussi d’excellentes danseuses. Il fallait voir comment elles se trémoussaient avec le tube : « Eloko ya mbula oyo edenda, sans basimbango ».
Avec la chanson « Malu », Oscar Bakandoa, tout aux anges, a monopolisé la piste, comme si c’était le mois de l’homme. Doudou Endombe et Gathy Mpolo se sont cassées en deux. Et Mireille Dieditomene n’était pas en reste. Vers 22h30’, les mariées ont commencé à quitter la salle. C’est ainsi que Lucie Ngusi et Prudence se sont éclipsées sur la pointe de pieds. Nadine Laing leur a emboîté le pas. Cela a été une réussite pour ces femmes qui ont montré de quoi elles sont capables.
Après l’allocution préparée pour cette occasion, Thierry Kasongo a invité tout ce beau monde au repas de cœur offert par Sylvie Ngalula, Kathy et Nana. Les barons de ce groupe de presse ont été les premiers à se servir, en commençant par les directeurs Oscar Bakandowa, Jean-Marie Kapongo et Faustin Kuediasala. La nourriture est même restée, à tel point que Thierry ne cessait de crier : « Il y en a encore ». Une occasion en or pour le directeur technique André Ndjeka qui est repassé trois fois à la table.
Enfin, le bal ouvert, tout le monde s’est lancé sur la piste. Il y a eu un rythme endiablé. Ces professionnelles de la presse sont aussi d’excellentes danseuses. Il fallait voir comment elles se trémoussaient avec le tube : « Eloko ya mbula oyo edenda, sans basimbango ».
Avec la chanson « Malu », Oscar Bakandoa, tout aux anges, a monopolisé la piste, comme si c’était le mois de l’homme. Doudou Endombe et Gathy Mpolo se sont cassées en deux. Et Mireille Dieditomene n’était pas en reste. Vers 22h30’, les mariées ont commencé à quitter la salle. C’est ainsi que Lucie Ngusi et Prudence se sont éclipsées sur la pointe de pieds. Nadine Laing leur a emboîté le pas. Cela a été une réussite pour ces femmes qui ont montré de quoi elles sont capables.
L’allocution prononcée par
Nadine Laing
Cette
journée marque pour nous, dames du groupe Média 7, entendez « Le Potentiel », «
Télé 7 » et Radio 7 », la clôture des activités de ce mois de mars qui est
consacré à la femme. Mais puisque la femme n’est pas faite pour vivre seule,
nous avons donc tenu à ce que cette soirée ait un caractère inclusif à travers
la représentativité de tout le personnel de l’entreprise.
Ainsi, chers amis, du fait que cette fête intervient à un moment difficile de l’histoire de notre groupe de presse, il ne devra donc pas être question de se tromper ou de consacrer 2018 à la facilité. Il faudra dépasser nos différences, vaincre nos peurs, et ne pas baisser les bras devant l’ampleur de la tâche.
A nous, en cette année 2018, de relever la tête pour faire face, plutôt que de nous résigner à l’impuissance. Le défi de 2018 : rassembler nos forces, nos intelligences et nos cœurs pour édifier, contre vents et marées, une autre vision de nos organes de presse respectifs.
Il faudra, pour atteindre notre but, contenir les tensions et de possibles implosions, la grogne – liée à une crise qui a ébranlé l’édifice social – et par ricochet notre groupe de presse. Le manque de perspectives plombe notre jeunesse et nourrit les idéologies fanatiques issues du désespoir. Il faudra donc tenter de réconcilier les extrêmes, de repenser des règles susceptibles d’unir plutôt que de diviser, d’instruire plutôt que parer au plus pressé et surtout… de nous armer de patience !
Il est donc temps en 2018 d’étayer solidement nos propositions et de viser haut, de croire en l’inspiration et en l’amour pour bâtir ensemble un groupe Média 7 nouveau, œuvrer pour porter nos rêves et les concrétiser dans la solidarité et la sagesse des peuples, plutôt que dans l’ignorance des fous. Si 2018 nous demande de nous mobiliser pour croître, grandir et, bientôt nous épanouir, l’année nous invite à retrousser nos manches, à ignorer les prophètes de malheur qui nous garantissent le pire.
C’est le moment de nous concentrer sur le travail à faire et sur les idées à promouvoir pour ouvrir un nouveau champ de possibilités. Car assurément, cette année de labeur mettra nos nerfs à rude épreuve, mais va surtout s’avérer décisive pour passer d’un côté à l’autre de la crise. La fin de cette année devrait en effet nous permettre d’aller de l’avant, d’ouvrir les écoutilles sur un monde qui pourrait bien nous plaire. Croire en l’amour, voilà l’énorme et magnifique défi qui nous permettra en 2018 de passer de l’ombre…à la lumière.
Ainsi, chers amis, du fait que cette fête intervient à un moment difficile de l’histoire de notre groupe de presse, il ne devra donc pas être question de se tromper ou de consacrer 2018 à la facilité. Il faudra dépasser nos différences, vaincre nos peurs, et ne pas baisser les bras devant l’ampleur de la tâche.
A nous, en cette année 2018, de relever la tête pour faire face, plutôt que de nous résigner à l’impuissance. Le défi de 2018 : rassembler nos forces, nos intelligences et nos cœurs pour édifier, contre vents et marées, une autre vision de nos organes de presse respectifs.
Il faudra, pour atteindre notre but, contenir les tensions et de possibles implosions, la grogne – liée à une crise qui a ébranlé l’édifice social – et par ricochet notre groupe de presse. Le manque de perspectives plombe notre jeunesse et nourrit les idéologies fanatiques issues du désespoir. Il faudra donc tenter de réconcilier les extrêmes, de repenser des règles susceptibles d’unir plutôt que de diviser, d’instruire plutôt que parer au plus pressé et surtout… de nous armer de patience !
Il est donc temps en 2018 d’étayer solidement nos propositions et de viser haut, de croire en l’inspiration et en l’amour pour bâtir ensemble un groupe Média 7 nouveau, œuvrer pour porter nos rêves et les concrétiser dans la solidarité et la sagesse des peuples, plutôt que dans l’ignorance des fous. Si 2018 nous demande de nous mobiliser pour croître, grandir et, bientôt nous épanouir, l’année nous invite à retrousser nos manches, à ignorer les prophètes de malheur qui nous garantissent le pire.
C’est le moment de nous concentrer sur le travail à faire et sur les idées à promouvoir pour ouvrir un nouveau champ de possibilités. Car assurément, cette année de labeur mettra nos nerfs à rude épreuve, mais va surtout s’avérer décisive pour passer d’un côté à l’autre de la crise. La fin de cette année devrait en effet nous permettre d’aller de l’avant, d’ouvrir les écoutilles sur un monde qui pourrait bien nous plaire. Croire en l’amour, voilà l’énorme et magnifique défi qui nous permettra en 2018 de passer de l’ombre…à la lumière.
Donatien Ngandu Mupompa
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