51 ème anniversaire d’un message sur les droits civiques
Le discours
prononcé par le défenseur des Droits de l’homme, le pasteur Martin Luther King,
sous le titre « I have a
dream » (J’ai fait un rêve) à la Place Lincoln Memorial en 1963,
fut un grand événement et connait aujourd’hui un impact positif dans le monde
entier. Eric Hubert Madison, chef de mission adjoint à l’ambassade américaine à
Kinshasa, l’a déclaré jeudi dernier, au cours d’une rencontre avec plusieurs
personnes de divers secteurs de la vie nationale, au Centre de ressources et de
documentation de l’ambassade des Etats-Unis à Kinshasa, à l’occasion du 51ème
anniversaire de ce discours qui prônait la liberté et les droits civiques dans
la société américaine.
Madison a
fait, dans ce cadre, la chronologie des événements en rapport avec ce discours,
relevant les aspects légal et socio-économique de cette allocution ainsi que la
quintessence et l’impact de celle-ci dans ce pays. Pris dans un angle légal, le
diplomate américain a estimé que ledit discours, compte tenu de son
référencement aux textes fondamentaux de la nation américaine, notamment la
Déclaration de l’indépendance, la Constitution et les droits civiques, est
considéré comme l’un des facteurs déclencheurs ayant contribué, à la longue, à
la fin de la ségrégation raciale aux Etats-Unis.
Le rêve de
Martin Luther King, a-t-il affirmé, est une réalité dans la société américaine.
Il a contextualisé ce discours par rapport au cours des événements d’actualité
se passant aux Etats-Unis, en reconnaissant qu’une faible fréquence de
stigmates de cette ségrégation persiste encore dans cette société. En prélude à
cette journée, M. Alain Mesa, directeur en chef du Centre des ressources et de
documentation de l’ambassade des Etats-Unis à Kinshasa, avait fait projeter
Saint Hervé M’Buy
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